Retrouvez le portrait de ce savoir-faire
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Responsable de production
« En tant que responsable production, je me charge de répartir le travail des ouvriers, je vérifie qu’ils aient bien le matériel pour pouvoir travailler. Je vérifie également la faisabilité des pièces avec le bureau d’études, le délai, les approvisionnements et la sous-traitance.
Les pièces sont toujours différentes, plus ou moins complexes, à destination de différents domaines d’activités (agro-alimentaire, pharmaceutique, charpenterie, etc…).
Les qualités du responsable de production sont de pouvoir s’adapter à toutes les situations, d’avoir le contact facile avec les autres, de savoir gérer les conflits, et surtout d’adapter les ressources pour respecter le délai, les couts et la qualité imposés par les clients.
J’ai tout d’abord obtenu mon Baccalauréat Chaudronnerie Industrielle, puis un BTS. Je suis devenu chef d’atelier après une expérience en bureau d’étude. »
Plus d'informations : https://www.exploratoire.com/fr/activites/programmation-actualites/les-metiers-du-travail-des-metaux/
Technicien chaudronnier
« La chaudronnerie, c’est le travail de tôle pour former des pièces de toutes sortes, entièrement traçées et formées à la main. La beauté de ce métier, c’est l’amour du métal.
Pour être un bon chaudronnier, il faut au moins 10 ans d’expérience, savoir se projeter dans l’espace, un bon bagage technique et aimer la précision, être habile et polyvalent. Aussi, celui qui sait bien travailler l’inox sera capable de travailler tous les matériaux.
Pour devenir chaudronnier, il existe différentes formations. L’idéal, c’est de réaliser un apprentissage pour pratiquer concrètement au fur et à mesure de son cursus. »
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Technicien soudeur
« Mon métier, en tant que soudeur, est de lier deux métaux ensemble en alliage. En faisant fondre un métal sur un autre, ils s’unissent et ainsi la pièce prend forme.
Il existe deux formations principales pour ce métier : soudeur semi-automatique et soudeur TIG.
Aujourd’hui, il y a pas mal de jeunes dans la soudure, plus qu’il y a quelques années. SMIO accueille plusieurs jeunes en formations. En 15 ans, j’ai accompagné plusieurs jeunes soudeurs.
L’expérience se transmet chaque jour par le dialogue et l’observation. »
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Technicien metallier serrurrier
« La frontière entre la chaudronnerie et la serrurerie est très fine. La serrurerie, c’est la mise en forme du métal en tubes et en profils, alors que la chaudronnerie c’est la mise en forme du métal en tôle .La serrurerie, c’est tout ce qui est artistique en quelque sorte. La chaudronnerie produira quelque chose de fonctionnel et industriel, tandis que la serrurerie fera quelque chose de design et décoratif.
Ce que j’aime dans mon métier, c’est de mettre en forme quelque chose d’inerte et de le travailler. Le métal se déforme et se reforme, c’est la complexité de ce métier, puisqu’il faut amener le métal exactement là où on veut qu’il aille.
Un serrurier doit être patient et être capable d’apprécier le travail bien fait.
Pour travailler dans la métallurgie, j’ai commencé par un Baccalauréat en usinage, puis j’ai obtenu un BTS Conception Industrielle pour travailler en bureau d’études durant 3 ans, et j’ai réalisé un Baccalauréat Professionnel Chaudronnerie Serrurerie pour améliorer mes connaissances. Mais il existe différents cursus possibles pour atteindre ce poste.»
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Peintre indutriel
« J’aime peindre toutes sortes de pièces industrielles. C’est un métier diversifié, chaque jour je peints différentes pièces, de différentes couleurs. J’ai appris le gros du métier de peintre industriel au fil des années.
Ce que je trouve dommage, c’est que très peu de jeunes s’orientent vers ce métier, pourtant j’aimerai transmettre mon savoir-faire. C’est un métier plaisant, c’est un beau métier qui mérite d’être perpétué.
Pour devenir peintre industriel, j’ai réalisé un CAP Peinture en Carrosserie. »
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Chargé d’affaires
« Mon métier consiste à étudier les plans et les problématique techniques de nos clients, les analyser pour savoir comment les fabriquer, et les chiffrer. Ensuite, je vais faire une offre de tarif et leur proposer des solutions. Je suis également en charge de la matière première et de la sous-traitance ainsi que de superviser, en lien avec le responsable de production, la fabrication des pièces commandées par nos clients.
Ce qui me plait dans ce métier, c’est tout d’abord l’entreprise. Chez SMIO, nous sommes totalement autonomes. De plus, chaque journée est différente, c’est ce qui me motive.
Pour arriver au poste de gestionnaire de projets techniques, j’ai passé un BEP Métallier, puis un Baccalauréat Professionnel Chaudronnier avant d’obtenir un BTS Conception des Produits Industriels. »
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Responsable de production
« Mon métier consiste à vérifier la qualité des pièces dès leur sortie. L’objectif est de garantir une satisfaction client lors de la réception. Je vérifie donc que la pièce est conforme, c’est-à-dire qui correspond au plan fourni par le client. Si une pièce n’est pas conforme, j’interviens auprès des techniciens pour les avertir.
Pour être un bon responsable de production, il faut savoir lire un plan, être rigoureux et savoir prendre des décisions.
Pour être responsable de production, j’ai obtenu un Bac Construction Mécanique (anciennement appelé Bac F1) et je suis passé par plusieurs postes dans plusieurs entreprises avant d’occuper ce poste chez Soprofame. Mais aujourd’hui, à mon avis, le métier de responsable de production est accessible dès la sortie des études. »
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Responsable fabrication additive
« En tant que responsable de fabrication additive, je m’occupe de la préparation des fichiers 3D, je lance les impressions des pièces, j’estime le coût global de la pièce puis je chiffre le prix client final. Il est très important d’avoir un bon fichier 3D bien configuré et de bien calibrer la machine pour être sûr d’avoir une pièce de qualité.
Ce métier demande d’avoir des connaissances en fichier numérique 3D, d’avoir l’esprit mécanique, d’être minutieux et polyvalent.
Pour arriver à ce poste, j’ai obtenu un BTS Productique Numérique, où j’ai eu la chance d’avoir été initié à l’imprimante 3D. J’ai donc décidé de me diriger vers l’impression 3D et je suis arrivé chez Soprofame. »
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Technicien d’usinage
« Mon métier consiste à réaliser une pièce à partir d’un plan. Le bureau d’études nous envoie un plan, et suivant ce dernier on réalise la pièce demandée. Ce qui est intéressant dans ce poste, c’est que l’on touche à tout : la mécanique, l’informatique, le dessin, la conception d’usinage, etc.
Bien évidemment, il faut savoir se concentrer pour exercer ce métier, car une erreur de paramètre sur une machine ou sur un programme peut vite arriver, et conduire à la catastrophe.
Pour devenir technicien d’usinage, j’ai fais un BEP ORSU (Opérateur Régleur sur Système d’Usinage) qui m’a permis de passer un CAP Tourneur sur commande numérique, puis un CAP Fraiseur sur commande numérique et un CAP Tourneur sur machines conventionnelles. Mais aujourd’hui, un Bac Professionnel Productique Numérique peut suffire. »
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14 rue de la Guenaudière
35300 Fougères
Alexandre et Jean-Baptiste FRENEL
ICILABA CREATION, Agence de design global
45 rue de la Poterie 35 131 Chartres de BretagneAgimetal décline toute responsabilité quant au contenu des sites proposés en liens. Quelque soit le type de lien établi à partir d’un site internet extérieur, dit ”site liant”, vers celui de ”Agimetal”, ce dernier se réserve le droit de s’opposer à son établissement.
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